« Aime-moi loin du pays des représailles et de la répression. Loin de notre ville saturée de morts ». (vers du poète Nizar Kabbani) photo et traduction DR
Dans Alep Est dévastée de cet hiver 2016, les civils fuient la folie des hommes, loyalistes ou rebelles.
Seuls quelques mots sur les murs.
Traces d’une grande culture qui saura renaître des cendres.